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HISTORIQUE & PRESSE
 
   
EXTRAITS D’ORNITHORYNQUES




Michael Vorfeld































Four Eyes































Rotophormen































Janek Schaefer































L’Ensemble Rayé































Viktoria Frey































Masayoshi Urabe































John Butcher































Derek Bailey































James “Blood” Ulmer































After Dinner

On ne peut qu’être séduit par la programmation d’une telle manifestation animée par le goût de la découverte et du partage. Cette année encore se succèderont des musiciens aux profils très différents mais développant tous un sens aigu de la recherche et du plaisir. Détail de l’excellente programmation dans l’agenda.
(…491 06 & 07/02)

Un festival qui justifie pleinement son appellation, un programme bien construit entre les mécaniques de Pierre Bastien et l’électro-acoustique d’Axel Dörner (…)
(Vibrations 06/02)

L’idée est simple : faire se rencontrer, une semaine durant des artistes du monde entier, issus de la scène des musiques improvisées, exploratrices, bidouillantes, mais restant accessibles au plus large public. Sauf que plus qu’une série de concerts de quelques ingénieux tritureurs de sons, c’est surtout la performance — et l’interactivité qu’elle engendre — qui semble primer dans ce festival. Une pale copie des Musiques en Scène de Lyon ou des 38èmes Rugissants de Grenoble ? non, car du haut de ses treize éditions, le festival s’est surtout intéressé aux gens gravitant sur des chemins de traverse, autrement dit, à la scène alternative. La meilleure preuve en est la programmation, qui se veut panoramique, avec un tour d’horizon des productions musicales innovatrices de ces dernières années (…) Si vous vous demandez ce que les prochaines décennies réservent à vos oreilles et à vos âmes, le Festival des Musiques Innovatrices pourrait bien vous apporter quelques pistes.
(Lyon Capitale 22/05/02)

Un rapide coup d’œil aux programmations passées (David Moss, After Dinner, Jon Rose, Evn Parker, Blast, Derek Bailey, Haco, etc…) fait regretter de n’avoir pas plus tôt rejoint les drôles d’oiseaux (ornithorynques, pardon !)…
(Improjazz 07/02)

Dirigeant un Festival des Musiques Innovatrices bien dans sa peau et tintinant dans les oreilles d’Art dans la Ville, Bruno Meillier est à la musique ce que Favier est aux arts plastiques  : un stéphanois peu prophète en son pays et que le monde a adopté. Son cercle d’amis va de New York à Berlin (…)
(Edi’zap 25/06/02)

Largement ouvert aux groupes internationaux, le festival des Musiques Innovatrices est chaque année l’occasion de découvrir les nouvelles tendances de la musique expérimentale (…)
(La Tribune/Le Progrès 03/06/02)

Emmenée par Bruno Meillier, la joyeuse équipe de ToTo n’aime pas la Soupe s’active pour qu’existent et vivent dans la cité minière les musiques de traverse. Douze ans d’un festival hors-normes qui a su fidéliser un public curieux et attentif (…)
(Improjazz 07/01)

Les festivals New Music de Francfort, Taktlos à Bâle et à Zürich, Musiques Innovatrices à Saint-Étienne et des dizaines d’autres véritables poches de résistance œuvrent au décloisonnement.
(Vibrations 07/01)

Tout ne se passe pas à Berlin ou à New York. L’espace d’une semaine St Etienne devient pour la new music internationale, ce qu’il y a de meilleur.
(Guide Culturel Utopia 2001)

Comme son nom l’indique sans équivoque, ce festival ne fait pas dans la gaudriole ou la mondanité. De l’improvisation pure et dure (Doneda, Petit, Butcher, Rowe, etc…) au folk-rock décalé de Red, toutes les formes de musiques en quête d’inconfort et de beauté fugace se retrouveront à Saint-Étienne en cette fin de printemps.
(Les Inrockuptibles 05/06/01)

Le festival stéphanois propose toujours des voyages surprenants. En solo John Butcher donnera le coup d’envoi de la douzième édition des Musiques Innovatrices (…)
(Libération 01/06/01)

Si ces musiques là ne semblent pas simples d’accès, au premier abord, elles n’en demeurent pas moins synonymes de création permanente et de remise en question indispensable. Et créer c’est encore la meilleure preuve qu’on existe, non ?
(L’Agenda Stéphanois 06/01)

Cette musique là, parfois dérangeante, toujours surprenante est un espace de liberté indispensable qu’il faut absolument préserver, et le meilleur moyen est d’aller écouter sur place, en direct. On peut donc encourager et remercier Bruno Meillier et son association (…)

(La Tribune/Le Progrès 10/06/01)

Difficile d’échapper à Bruno Meillier, lorsqu’on s’intéresse au bouillonnement culturel stéphanois. Que ce soit au sein du festival des Musiques Innovatrices, sorte de croisée des chemins entre rock, jazz, musique contemporaine et du monde, ainsi qu’à bord de son association, Meillier aime surfer à contre-courant des modes et faciliter les échanges. Un but qu’il atteint parfaitement.
(Lyon Capitale 07/02/01)

La grande réussite de Bruno Meillier, tête pensante du festival et de l’association ToTo n’aime pas la Soupe, aura été non pas de développer ce festival, par définition novateur, autrefois soutenu par une solide infrastructure, mais bien d’avoir survécu à cet abandon annoncé et d’avoir donné une nouvelle jeunesse à cette exploration musicale sans égale (…)
(L’Agenda Stéphanois 05/00)

L’organisateur dresse la bilan positif d’une manifestation hors normes connue bien au-delà du département. Allergique à toute sélection pré-mâchée du culturel, le saxophoniste stéphanois estime que la onzième édition fut artistiquement fidèle à l’orientation des musiques innovatrices (…)
(La Tribune/Le Progrès 21/06/00)

Bruno Meillier vit à Saint-Étienne où il a organisé dix éditions (en treize ans) d’un festival « hors normes » : Musiques Innovatrices.
(Jazz Magazine 11/99)

Bruno Meillier est un garçon persévérant et malgré les vents et les mauvaises marées, le festival des musiques innovatrices arrive à faire surface presque tous les ans comme un bateau que l’on sauve de justesse. S’il est des festivals avec des programmations « toc », « bof », celle-ci est plutôt du côté « choc ». Clap, clap, on applaudit de ses deux mains (…)
(…491 06 & 07/99)

Au fil des ces dix ans le mot d’ordre est toujours resté le même: sortir à tous prix des sentiers battus, s’éloigner le plus loin possible des niaiseries formatées qui dégoulinent chaque jour sur les bandes FM, plonger dans l’inconnu. Ainsi sur quatre jours et dans différents lieux, l’équipe organisatrice convie des artistes des quatre coins du monde à la musique hors norme pour un festival nomade (…)
(Libération 3/06/99)

Le rassemblement des musiques innovatrices affiche une fréquentation en constante hausse. Cela s’explique par les choix radicaux et toujours exigeants de Bruno Meillier, spécialiste en la matière (…)
(La Tribune/Le Progrès 27/05/99)

Le festival des musiques innovatrices aura finalement lieu grâce à la ténacité de l’association stéphanoise « ToTo n’aime pas la soupe » qui organise des manifestations depuis 1989 (…)
(La Tribune/Le Progrès 9/06/98)

La distance géographique sépare ces deux compères très actifs sur le front des musiques innovatrices, Richard à Marseille, Meillier à Saint-Étienne (…)
(Les Inrockuptibles 05/98)

L’association « Toto n’aime pas la soupe » (enfin un nom rigolo) réactive le festival des musiques innovatrices. Beau programme annoncé sous le signe de la « dissidence et de la poésie » (…)
(Le Monde 24/05/97)

De souffle, Bruno Meillier n’en manque pas. Déjà, pour organiser un festival des musiques innovatrices il y a dix ans à Saint-Étienne, il en fallait (…) Chacun attendait une résurgence bienvenue. C’est aujourd’hui chose faite, à l’arraché. Le huitième festival fête pour la circonstance ses dix années d’existence, avec la verve musicale qu’on lui connaît (…)
(Steps 07/05/97)

Faut-il que tout soit balisé, éclairé, expliqué,… Art dans la ville appelle à la découverte, les musiques innovatrices appellent aux rencontres inédites. Osez maintenant!
(L’Agenda Stéphanois 20/05/97)

Innovations à Saint-Étienne. Un cran plus loin dans l’inconnu, voici le 7e festival des musiques innovatrices (…)
(Le Monde 07/04/94)

La deuxième métropole de la région Rhône Alpes s’engage résolument dans l’avenir. Recherche et innovation étaient au programme du Festival des Musiques (…)
(L’Express 28/04/94)

Le Théâtre Copeau de la MCC de Saint-Étienne joue la carte de la découverte des expressions musicales, celles-ci allient originalité et séduction dans le cadre du Festival des Musiques Innovatrices (…)
(Petites Affiches Lyonnaises 02/04/94)

De Grenoble à Saint-Étienne, ces oasis libertaires, tel le prochain Festival des Musiques Innovatrices, ponctuent en catimini la constellation des esthétiques majoritaires (…)
(Libération 07/92)

Depuis trois éditions déjà, le festival des musiques innovatrices de Bruno Meillier à Saint-Étienne s’appelle plus sobrement « Festival des Musiques ». Tous les courants y sont représentés (…) La venue de ce « Boulez » du free-playing représente un évènement majeur et propulse le festival de Bruno Meillier et la Maison de la Culture aux sommets de la programmation française.
(Lyon Poche 14/04/93)

Le Festival des Musiques Innovatrices de Saint-Étienne a peu à peu acquis ses lettres de noblesse et une notoriété qui dépasse largement la région, voire l’hexagone. Proposant avec une exigence de qualité et une rigueur dans le choix des orientations qui ne se démentent pas, une musique créative, bouillonnante et donc peu entendue (ni sur les ondes bien sûr, ni dans les festivals) ailleurs, ce festival a su occuper un vrai créneau (…)
(Le Pays Roannais 10/04/92)

Saxophoniste et dénicheur de talents, Bruno Meillier mène depuis 5 ans ses Musiques Innovatrices. Du rock libidinal au jazz en rupture identitaire en passant par les conflagrations radicales et la néophilie post-sérielle, tous les courants libertaires ont revendiqué leur droit de séjour à la Maison de la Culture de Saint-Étienne, l’espace d’une soirée.
(Libération 09/04/92)

Servi par une programmation des plus pointues, ouvert à tous les styles et à toutes les tendances, le festival a su conquérir un public qui, d’année en année, se fait, chaque fois plus nombreux et impatient de découvrir, sur scène, d’autres formes musicales (…)

Le public ne s’y est pas trompé. En programmant Max Vandervorst et Gong, les organisateurs du 5e festival des Musiques Innovatrices ont offert aux spectateurs d’un Théâtre Copeau archicomble, une soirée de clôture vraiment exceptionnelle.

(La Tribune/Le Progrès 04/92)

Sons ultra à Saint-Étienne. Pour la quatrième édition du festival, Bruno Meillier veut être le plus radical possible. Pour ne pas faire de compromis avec un public, chaque année plus fidèle et qui se délecte d’expérimentation (…)
(Libération 25/11/90)

Innovez, il en reste quelque chose. Le Festival des Musiques Innovatrices a encore une fois bien porté son nom. Pour ces cinq soirées pensées et présentées avec goût et talent par Bruno Meillier, il s’agit bien de parler de musiques comme on parle de voyages, d’horizons, d’états d’âme (…)
(Jazz-Notes 02/91)

Spécial St Etienne. Ont été cités 3 fois:  Bruno Millier (Festival des Musiques Innovatrices)
(Télérama 10/90)

Que Bruno Meillier soit loué ! C’est grâce à lui, musicien globe-trotter impénitent et directeur artistique de ce 3e Festival des Musiques Innovatrices que Saint-Étienne peut devenir l’espace d’une semaine, le réceptacle de ce qui se fait de mieux sous le soleil brûlant de la new music internationale (…)
(Lyon Poche 29/11/89)

Alors on se dit que le Festival des Musiques Innovatrices fait partie de la mouvance qui tente de re-dynamiser la ville et se bat pour enrichir l’espace et donner à voir d’autres horizons possibles. Le festival nourrit la vie artistique de la ville et, tel un festin composé avec goût et bonheur, il rend les sédentaires heureux de rester « chez eux » loin des courants médiatiques qui font croire que tout se passe à Berlin, Paris ou New York (…)
(Revue et Corrigée 03/89)

Le Festival des Musiques Innovatrices répond à ce que l’on attend de lui : éclectique, surprenant suffisamment pour que les inégalités fassent partie du jeu. Trois vrais excellents moments musicaux. Reste : que fait-on le jour à St-Étienne ? Tourisme et culture, il y a de quoi. Si, si.
(Jazz Magazine 02/89)

Innovation, continuation. Du saxophone de Bruno Meillier, organisateur de la manifestation, sortent des musiciens que l’on a peu l’habitude d’entendre sous nos climats (…)
(Libération 03/12/87)

« La glace s’est rompue. Ainsi, à la requête de la Maison de la Culture de Saint-Étienne, je me suis retrouvé directeur artistique du prochain Festival des Musiques Innovatrices. Un pari esthétique et commercial unique en Europe, que seule une ville, émergente comme St-Étienne pouvait imaginer. »
(City Magazine International 10/87)

Musiques de l’infini. Sons du devenir. Cette semaine stéphanoise est un véritable scan des univers sonores possibles. Là où disserter sur l’identité, jazz, rock, avant-garde n’a plus de sens. Car ces sons en liberté nous suggèrent de nouveaux systèmes de vie, une esthétisation inédite de l’existence. Et qui parle seulement de musique ?
(Lyon Poche 12/87)
   
RAPPEL DES PROGRAMMATIONS PASSÉES
13e édition : du 1 au 10 juin 2002

Axel Dörner
DIANE LABROSSE & MARTIN TETREAULT — FOUR EYES : PIERRE BASTIEN & KAREL DOING — ROTOPHORMEN : ANNETTE KREBS & ANDREA NEUMANN — NMPERIGN : BHOB RAINEY & GREG KELLEY — MASAYOSHI URABE — MICHAEL VORFELD — PALINCKX — NAPPE — JANEK SCHAEFER — PITA— ALEXANDRE PAX — L’ENSEMBLE RAYÉ — PASCALE LABBÉ & CHRISTINE WODRASCKA — VIKTORIA FREY — AXEL DÖRNER — “PLOMB” J.F. BARNOUD — “MUSIQUES INNOVATRICES 2001” DOMINIQUE SALIBA
12e édition : du 5 au 10 juin 2001

Hans Tammen
John BUTCHER — Hans TAMMEN — KATZ — John BUTCHER, Sophie AGNEL & Matthew OSTROWSKI — TROUBLE-FETE — Michel DONEDA & Tetsu SAITOH — Makoto KAWABATA — Didier PETIT — RED — 202 Le Projet CHAOS — Keith ROWE & Toshimaru NAKAMURA — The CLEEE SEPTET
11e édition : du 24 au 28 mai 2000

Thomas Lehn
HACO — CHAZAM & Mr GADOU — Thomas LEHN — CONTRE — K-SPACE — Marc SENS — Dan WARBURTON & François FUCHS — VOÉ — PEEPING TOM — SILENT BLOCK
10e édition : du 3 au 6 juin 1999
« je sais pas, je, de toute façon, je n’ai pas la notion de durée en général alors, encore moins sur les petits trucs, enfin, je sais pas, ça c’est comme les distances, le temps, je sais pas, c’est bizarre, j’ai, c’est comme le sens de l’orientation, c’est le même truc, je sais pas, j’ai pas le sens du temps, de l’orientation et de la mesure. »
Dominique Petitgand,
Le Sens de la mesure (pièce sonore)
ANORIEN — Sachiho M & Toshimaru NAKAMURA — FILAMENT — OSSATURA — Dominique PETITGAND — OTOLITHEN — PEEPING TOM
9e édition : du 10 au 15 juin 1998
 
REPEAT — Pierre BERTHET — Paul ROGERS — Serge VALLA & Hervé ROCHE — NOETINGER / WERCHOWSKI / MARCHETTI
8e édition : du 28 mai au 1er juin 1997

Takumi Fukushima & Dominique Lentin
Pierre BASTIEN & MECANIUM — Günter MÜLLER + VOICECRACK — Takumi FUKUSHIMA & Dominique LENTIN — BOMONSTRE — Pascale LABBÉ & Didier ROTH — HEADBUTT — MERCURY 4°f — 2 GUITAR TRIO
7e édition : du 10 au 15 avril 1994
 
NUBA — BRUNIFERD — Frédéric LE JUNTER — Albert MARCOEUR — Yves ROMAIN & Christine WODRASCKA — TRIO Denis COLIN — Hugh DAVIES & Max EASTLEY — THE 13th TRIBE — SUMBUR — NE ZHDALI
6e édition : du 11 au 16 avril 1993

Saynkho Namtchylak
Leela ADSULE, Hameed KHAN & Ramjan KHAN — Senem DIYICI & Alain BLESSING — LITTLE WESTBROOK MUSIC — Pierre BERTHET & Brigida ROMANO — THE WORK — Derek BAILEY — Saynkho NAMTCHYLAK — Walter FÄHNDRICH — Enver IZMAILOV & Burhan ÖCAL — James BLOOD ULMER, Jamaaladeen TACUMA & Ronald SHANNON JACKSON
5e édition : du 14 au 17 avril 1992
 
Junko UEDA — E — ARMELLE — SUSHAMA UNNIKRISHNAN — SECRET SERVICE PROJECT — BLAST — Max VANDERVORST — GONG
4e édition : du 24 novembre au 1er décembre 1990
 
Création : Gilles GRAND & Michel KELEMENIS — Chants d’Oiseaux : Jean ROCHE — PING-PONG — AM4 — E-GUIJECRI — Evan PARKER TRIO — BALLHAUS — DOCTOR NERVE — NEGERLÄNDER — MAXIMALIST
3e édition : du 28 novembre au 2 décembre 1989

Krackhouse
Serge VIALLAT, Denis DUFOUR, James GIROUDON, Alain BERRUX & Jérôme DORIVAL — KRACKHOUSE — THE SCHISMATICS — THE 29th ST. SAXOPHONE QUARTET — Louis SCLAVIS & Ernst REIJSEGER — Jon ROSE — THE AMSTERDAM STRING TRIO — LES COLONNES D’HERCULE — AFTER DINNER — Michael NYMAN & THE BALANESCU STRING QUARTET
2e édition : du 29 novembre au 3 décembre 1988
 
Cécile LE PRADO & Bruno BILLAUDEAU — Paul PANHUYSEN & Johan GOEDHART — Giancarlo SCHIAFFINI — Phil MINTON & Roger TURNER — Veryan WESTON — HABARIGANI — THE COMMERCIAL CONCERT — DYNAMO REMONT — Fred FRITH — THE TONE DOGS — Gavin BRYARS ENSEMBLE
1e édition : du 1 au 5 décembre 1987

David Moss
Pierre BASTIEN & MECANIUM — Hans REICHEL — David MOSS — Didier MALHERBE & Youval MICENMACHER — Jean-Claude ASSELIN & le BUGNAZOURDIN — LOOK DE BOUK — Chris NEWMAN & Janet SMITH — Daunik LAZRO, Michel DONEDA & Ninh LE QUAN — GESTALT ET JIVE — Steve BERESFORD — Jan STEELE & the ZIZ ! QUARTET
   
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